Transports en commun gratuits en contre partie de l'interdiction totale de polluer en ville avec sa voiture individuelle.

 

Les transports en commun sont actuellement déjà payés à 72% par des contributions diverses.

Reste les 28% à trouver.

Cela se fera en supprimant tous les frais liés au paiement des transports (installations, contrôleurs, etc),

mais un "budget" se dégage également par les frais que l'on n'a plus à payer, comme celui des ravallements de façades à cause des pollutions automobiles, les frais de santé liés à ces mêmes pollutions (pollution qui va du bruit générant un stress nocif pour la santé, jusqu'aux maladies respiratoires et cardiaques, etc.)

 

Tous cela doit également amener à une "redistribution" des activités humaines, car tout centraliser sur Lyon est une erreur grave (mais logique dans une économie corrompue comme celle basée sur la monnaie : concentration d'activités = taxes collectées sur le lieu).

Les villes et villages autour ne doivent plus être des "banlieues dortoirs", ne doivent plus voir disparaitre leurs hôpitaux pour cause de "rentabilité monétaire".
Les déplacements pendulaires sont une plaie qui gaspille le temps de vie des "pendulaires" et beaucoup d'énegie pétrole et électrique.

La ville de Lyon doit donc arrêter de "pomper" les activités alentours.

 

Les livraisons doivent réellement se faire sans camionnettes, on peut s'appuyer sur le réseau du tram déjà existant pour cela, en l'adaptant et à certains horaires.

Le transport en commun est un service public. On ne paye pas les interventions des policiers, des pompiers.

Cette gratuité doit évidemment s'accompagner de l'interdiction totale de l'usage de voiture individuelle en ville.
La ville doit appartenir à ses habitants et aux habitants qui y travaillent. Mais celà n'est possible qu'en redistribuant les activités au lieu de les centraliser pour des raisons monétaires (Rentabilité immobilière, exclusions par les prix, conflits d'intérêts, etc.)

 

Les hypocrisies doivent cesser.

 


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