Voter pour des candidat(e)s postmonétaires
a-t-il une utilité ?

• Voter pour des candidats (avoir des élus) qui prônent la démocratie réelle directe (sans élus),
  n'est-ce pas paradoxal ?

Non. Car nous sommes légalistes. Si des candidats postmonétaires sont élus "représentants", ils seront des porteurs de paroles et non des "penseurs à la place des citoyens". C'est un engagement de chaque candidat sous peine de démission immédiate.

• Voter pour des candidats post-monétaires ne va-t-il pas "morceler les forces de changement" ?

C'est l'argument "chantage habituel" qui fait qu'au final on ne vote pas pour ceux que l'on souhaite réellement au pouvoir, mais pour "les moins pires par rapport à ceux d'en face".
Résultat ?
Aucun renouvellement de la classe politique n'est possible, aucune visibilité pour faire naître des alternatives et c'est toujours les mêmes au pouvoir.

STOP.

Votez pour ceux qui défendent vos valeurs et vos aspirations.

• Sans majorité, à quoi serviraient les élus postmonétaires ?

En attendant de pouvoir voter directement des lois pour répondre au programme (*Augmenter les connaissances de chaque citoyen - Transparence totale de la sphère publique - Démocratie réelle directe) ils et elles voteraient suivant ce que veulent les citoyens (système de porteur de voix et de vote majoritaire) et toute proposition d'autres groupes politiques qui servent notre programme*.

Voter pour des candidats postmonétaires,

• c'est défendre réellement l'environnement (le système monétaire détruisant les ressources, empoisonnant la nature parce que c'est "rentable monétairement" de le faire
  - ne pas oublier que la pollution n'a d'intérêt que parce que ça rapporte de l'argent ou ça en économise),

• c'est défendre réellement la nature humaine (le respect de la liberté individuelle tout en agissant pour le bien de tous, et non pour défendre un chiffre d'affaires qui génère obligatoirement la guerre commerciale et l'écrasement du voisin plus ou moins éloigné).

Agir dans le domaine de la :

- Communication - Politique - L'économie - Culture/enseignement - Autres.